• Une création d'automne de Mcréations eklablog !

    Pour fêter : l' été indien

    Des photos, des vidéos

    Logiquement , cet article aurait du être publié sur "Fleurderocaille" mais vu les circonstances, je reste à l'abri du port Océane !

    J'avais juste envie de partager un petit moment avec vous ! il fait si beau

     

     

    L'été indien

    Arbres aux couleurs de l'automne .. vers chez moi (l'automne dernier)

     

     

    (photo du net ! image prise sur google)

    L'AUTOMNNE

     

    L'été indien aquarelle de marie laurencin

    Une aquarelle du peintre  Marie Laurencin

    Son nom est cité dans la chanson de Joe Dassin !

     

    "Marie Laurencin, née le 31 octobre 1883, 63 rue de Chabrol à Paris 10e, et morte le 8 juin 1956 à son domicile dans le 7e[1], est un peintre figuratif, portraitiste, illustrateur et graveur français. Épistolière à la fantaisie déconcertante, elle a également composé de nombreux poèmes en vers libres, indissociables , dans le cours de son processus de création, de l'expression picturale des scènes fantasmatiques qu'elle représente.

     

    Egérie d'Apollinaire, disciple de Matisse, de Derain, de Picasso et Braque en leurs premières époques, Marie Laurencin a fait de son style un dépassement indémodable tant du fauvisme que du cubisme et de sa vie une œuvre emblématique, autant d'une révolution artistique que de la libération de la femme. Si sa gloire internationale de l'entre-deux-guerres a été ternie durant l'Occupation par des mondanités déplacées, et si la critique, obnubilée par son expression féminine d'un désir qui renvoie à l'enfance, ne l'exonère pas d'une sensibilité d'apparence facile sans nette évolution, sa vie comme sa peinture fascinent à nouveau depuis que Joe Dassin l'a évoquée dans une chanson populaire. Très peu exposée en France, il faut attendre 2011 pour qu'une biographie approfondisse sa part d'ombre et le printemps 2013 pour qu'une exposition parisienne l'a fasse redécouvir au grand public.

     

    Antithèses des cauchemars de Goya, qui fut son seul idéal, ses aquarelles vives et glacis pastel répètent indéfiniment le charme ambigu et hallucinant de « princesses » et de bêtes féériques, de fleurs et d'adolescentes à la pâleur irréelle, saisies dans l'instant d'une pose dansante par leurs regards muets comme ceux d'un masque."

     

     

    Vidéos : sur Marie Laurencin et une vidéo de Joe Dassin sur l'été indien que nous vivons actuellement et c'est du bonheur !!

                                  

                   

     


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